Petites misères

Publié le par La puce du Parc

Première misère

 

A son retour après plusieurs semaines d’absence, un copropriétaire  eut la surprise étrange de trouver dans un courrier expédié par Oralia à son adresse, le chèque qu’il avait envoyé pour régler ses charges du 2ème trimestre.

Aucune explication n’accompagnait cet envoi car au service comptabilité d’Oralia , on facture mais on n’écrit pas.

Intrigué il appela le responsable qui ne sut que dire.

Deux jours plus tard notre aimable voisin reçut un nouveau courrier d’Oralia ; et qu’y trouva-t-il ?..........une lettre de relance et………une seconde lettre de relance destinée à une autre copropriétaire.

 

Deuxième misère

 

Quelques mois auparavant, un autre copropriétaire devenu méfiant informa par courrier suivi qu’il révoquait le prélèvement automatique des charges provisionnelles.

Le mois suivant, il rappelait l’information, toujours en courrier suivi ,car apparemment celle-ci n’avait pas été enregistrée.

Peine perdue, car on ne lit pas dans le service comptabilité d’Oralia.

Quelques semaines passèrent et Oralia facturait à notre malheureux copropriétaire non pas 43 euros comme indiqué sur le contrat mais 45 euros pour prélèvement refusé.

 

Troisième misère

 

L’une de  nos gentilles copropriétaires se rendit cet été chez Oralia afin d’obtenir des éclaircissements sur les sommes réclamées,  régla par chèque ce qu’elle devait et fit tamponné ses appels de fond prouvant ainsi que le règlement avait été effectué.

Mi-septembre, elle reçut une lettre de rappel. Se sentant beaucoup moins gentille, elle appela Oralia et suite à la conversation il lui sembla que l’affaire était réglée. Pensez-vous ! 3 semaines plus tard notre premier copropriétaire lui glissa dans sa boîte, la lettre de relance qu’il avait trouvée dans son courrier.

Publié dans Billets d'humeur

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